Quatre
Ce ne sont pas une, ni deux ni trois, mais quatre,
feuilles remplies de ce même thème,
ou j'ai balancé toutes mes cartes,
pour un sourire, qui me rends blême,
Dans mon modeste amphi-théatre,
ou tu y es ma seule juge,
il faut que mes mots enfin éclatent,
autre que sur des parchemins de refuge,
Ais-je peur du contrecoup,
de ta je pense, lente réponse,
mais si jamais tu me sautes au coup,
je jeterais mélancolie au diable des ronces,
Je vais peut-etre arreter ces poèmes,
Mais pour ça faut que tu me freines,
ou que tu veuilles de moi dans tes veines,
message subliminal, des prémisses d'un imminant "je t'aime".
Désolé, pardon, mais je suis comme ça,
je savoure trop nos moments pour t'laisser là,
meme si j'imagine qu'un autre te vois,
en plus intime, avec ces sentiments
Bien plus llégitimes que ceux que j'ai,
Malgré moi, malgré ça, pudiquement, abandonnés pour toi...
(Modifié le 27/10/12 à 9h55 puis 10h17 pour la cohérence)...
KHP.